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BAISSE D'ATTRACTIVITÉ

Afin de comprendre comment la Franche-Comté subi une baisse de son attractivité suite à la fusion, il faut prendre en compte le fait que Dijon, en Bourgogne, a été désignée comme capitale de la BFC. Celle-ci a trouvé le moyen d'accroître son développement en s'appropriant les atouts francs-comtois ; ses emplois, son tissu industriel, sa frontière avec la Suisse...

Prenons en illustration le tissu industriel qui fait de la Franche-Comté, la région la plus industrielle de France. Suite à la fusion, Dijon s'approprie cet atout et organise pour la première fois un salon dédié à l'industrie avec la mise en avant de Peugeot, Alstom ou encore Faurecia, soit des acteurs francs-comtois.

Nous pouvons également parler des négociations qu'entreprend Dijon avec Lausanne avec le soutien de la région BFC afin de développer une ligne TER entre ces deux villes quand bien même les Francs-Comtois attendent et espèrent l'ouverture de lignes franco-suisses pour satisfaire des relations beaucoup plus intenses.

Plus récemment, la visite de Monsieur le Premier Ministre Jean Castex à Dijon en Bourgogne pour annoncer les investissements en BFC dans le domaine de la santé prouve qu'il n'est plus nécessaire de se déplacer en Franche-Comté pour parler de dossiers qui concerne le territoire franc-comtois. Il ne s'agit là que d'un exemple, mais cela devient de plus en plus fréquent.

 

En résumé, on parle beaucoup plus de Dijon, de Bourgogne (parce que c'est plus court) et presque plus de Franche-Comté.

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